Des histoires qui sonnent, des sons qui racontent.
Des oreillers chuchotent leur rêve à
l’oreille des passants, les retenant un court instant pour une sieste
verticale. Posés sur des pupitres, en bordure des chemins, ils donnent un
autre sens au lieu, une nouvelle histoire. Parfois l’oreiller devient
chaussette, fleur de laine, arrosoir, selon le chapitre de cette chronique d’un
voyage en Amnézie continentale. Les
promeneurs invités à cette balade poétique, deviennent alors acteurs et
voyageur.
Le public se prêtant au jeu butine
histoires et instants de sieste, d’oreiller en oreiller. Il devient acteur du
dispositif et stimule la curiosité d’un nouveau passant qui entre à son tour
dans le cercle.
L’Amnézie Continentale
s’oublie et se transforme au cours des ans. Tout comme ces Histoires à Dormir Debout qui évoluent
sans cesse.